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Urgence_Climatique
Simulateur de montée des océans
Simulateur de montée des eaux des océans
Recul de la dune à Hoëdic (56) ces derniers jours, les habitants de l’île de Sein (29) coupés du monde jusqu’à la fin de la semaine, au moins… : les îles bretonnes seront aux premières loges de la tempête Ciaran. (Et effets du réchauffement climatique.)
La crise climatique et environnementale est l’un des plus grands défis à relever pour nos sociétés, et la jeune génération est déjà la plus touchée. Face à cette vulnérabilité, l’UNICEF lance à nouveau l’alerte…
Face à un avenir climatique incertain, des simulations en ligne permettent aux « survivalistes de l’immobilier » de se projeter dans leur futur lieu de vie idéal, protégé des fléaux qui s’annoncent. Fini l’Hérault ou le littoral breton, vive le Cantal et le Limousin !
Climate Trace : pour visualiser les émissions de gaz à effet de serre sur une carte interactive.
Canicule : va-t-on manquer d’eau pour nourrir la France ?
VIDÉO Face au changement climatique et aux risques de manque d’eau, comment le monde agricole peut-il s’adapter pour continuer de produire ce qui nous nourrit ?
VIDÉO Face au changement climatique et aux risques de manque d’eau, comment le monde agricole peut-il s’adapter pour continuer de produire ce qui nous nourrit ?
VIDÉO Pour limiter le changement climatique, les émissions de gaz à effets de serre devront baisser de manière drastique d’ici à 2050. Mais les individus peuvent-ils y faire quelque chose ?
Cartographie des épisodes climatiques extrêmes dans le monde par Le Dessous des cartes - L’Essentiel.
Ce jeudi 19 mai, il a fait 28 ° C à Berlin, soit 10 degrés de plus que les normales saisonnières. Des épisodes caniculaires ont également été enregistrés en Égypte, au Mexique, en Inde et au Pakistan. Bien-sûr, canicules et vagues de chaleur doivent être distinguées. Il n’empêche : les épisodes climatiques extrêmes se multiplient, avec une série d’effets dominos
Ce jeudi 19 mai, il a fait 28 ° C à Berlin, soit 10 degrés de plus que les normales saisonnières. Des épisodes caniculaires ont également été enregistrés en Égypte, au Mexique, en Inde et au Pakistan. Bien-sûr, canicules et vagues de chaleur doivent être distinguées. Il n’empêche : les épisodes climatiques extrêmes se multiplient, avec une série d’effets dominos
Les pays les plus pauvres sont aussi ceux qui sont les plus touchés par les risques naturels : incendies, sécheresse, inondations... Ces derniers se sont multipliés et intensifiés ces dernières années en raison du dérèglement climatique. Comment faire face à ces enjeux climatiques majeurs ?
À l’école, le Gulf Stream était ce courant chaud qui traversait l’Atlantique Nord. Faux, nous dit l'océanologue Julie Deshayes, qui évoque les nombreux tourbillons convergeant vers l’Europe. La question demeure : ces courants s’affaiblissent-ils, et avec quelles conséquences pour le climat ?
🌡🌪Le dérèglement climatique est trop souvent perçu dans les pays du Nord comme une échéance certes redoutable, mais lointaine. Pourtant, il change d’ores et déjà la vie quotidienne de millions d'êtres humains : fonte des glaces, inondations, incendies géants, tempêtes dévastatrices, sécheresses, épisodes caniculaires... Un tour du monde des populations et des paysages qui subissent déjà très concrètement et durement ses conséquences.
Selon une étude néerlandaise, le trait de côte pourrait fortement reculer d’ici la fin du siècle en raison notamment de la crise climatique.
La limite entre terre et mer est mobile par nature. Les marées, les vents, les tempêtes font varier cette ligne appelée trait de côte. Mais sous l’effet du changement climatique, la mer pourrait petit à petit gagner du terrain, selon un rapport publié dans la revue Scientific Reports, mercredi 7 juillet. Cette étude, pilotée par l’université de Twente aux Pays-Bas, se penche sur l’évolution des traits de côte de 41 embouchures de fleuve à travers le monde, dont celles de la Gironde et de la Loire, d’ici à la fin du siècle.
La limite entre terre et mer est mobile par nature. Les marées, les vents, les tempêtes font varier cette ligne appelée trait de côte. Mais sous l’effet du changement climatique, la mer pourrait petit à petit gagner du terrain, selon un rapport publié dans la revue Scientific Reports, mercredi 7 juillet. Cette étude, pilotée par l’université de Twente aux Pays-Bas, se penche sur l’évolution des traits de côte de 41 embouchures de fleuve à travers le monde, dont celles de la Gironde et de la Loire, d’ici à la fin du siècle.
A l’est de Cotonou, d’immenses épis ont permis de faire reculer l’océan et d’assurer la sécurité des riverains.
L’océan a fini par reculer. De 150 mètres en moyenne, 180 mètres par endroits. A l’est de Cotonou, capitale économique du Bénin, une longue plage de sable fin s’étire maintenant sur une quinzaine de kilomètres le long de la route qui mène vers le Nigeria...
L’océan a fini par reculer. De 150 mètres en moyenne, 180 mètres par endroits. A l’est de Cotonou, capitale économique du Bénin, une longue plage de sable fin s’étire maintenant sur une quinzaine de kilomètres le long de la route qui mène vers le Nigeria...
Leur position stratégique en bord de mer a fait d’elles des fleurons mondiaux du commerce et de la culture… Les villes côtières sont désormais menacées par l’océan qui avait permis leur essor, sous l’effet du réchauffement.
De Venise à Dacca, les villes côtières et leurs millions d'habitants installés sur le littoral sont "en première ligne" de la crise climatique qui risque de redessiner les cartes des continents, s'inquiète un projet de rapport des experts climat de l'ONU (Giec) obtenu en exclusivité par l'AFP.
Le prometteur marché de l’eau s’annonce comme le prochain casino mondial. Les géants de la finance se battent déjà pour s’emparer de ce nouvel "or bleu". Enquête glaçante sur la prochaine bulle spéculative.
Réchauffement climatique, pollution, pression démographique, extension des surfaces agricoles : partout dans le monde, la demande en eau explose et l’offre se raréfie. En 2050, une personne sur quatre vivra dans un pays affecté par des pénuries. Après l’or et le pétrole, l’"or bleu", ressource la plus convoitée de la planète, attise les appétits des géants de la finance, qui parient sur sa valeur en hausse, source de profits mirobolants. Aujourd’hui, des banques et fonds de placements – Goldman Sachs, HSBC, UBS, Allianz, la Deutsche Bank ou la BNP – s’emploient à créer des marchés porteurs dans ce secteur et à spéculer, avec, étrangement, l’appui d’ONG écologistes. Lesquelles achètent de l’eau "pour la restituer à la nature", voyant dans ce nouvel ordre libéral un moyen de protéger l’environnement. En Australie, continent le plus chaud de la planète, cette marchandisation de l’eau a pourtant déjà acculé des fermiers à la faillite, au profit de l’agriculture industrielle, et la Californie imite ce modèle. Face à cette redoutable offensive, amorcée en Grande-Bretagne dès Thatcher, la résistance citoyenne s’organise pour défendre le droit à l’eau pour tous et sanctuariser cette ressource vitale limitée, dont dépendront 10 milliards d’habitants sur Terre à l’horizon 2050.
Main basse sur l'eau
Documentaire de Jérôme Fritel (France, 2018, 1h30mn)
#ARTE #EAU #Finance
Réchauffement climatique, pollution, pression démographique, extension des surfaces agricoles : partout dans le monde, la demande en eau explose et l’offre se raréfie. En 2050, une personne sur quatre vivra dans un pays affecté par des pénuries. Après l’or et le pétrole, l’"or bleu", ressource la plus convoitée de la planète, attise les appétits des géants de la finance, qui parient sur sa valeur en hausse, source de profits mirobolants. Aujourd’hui, des banques et fonds de placements – Goldman Sachs, HSBC, UBS, Allianz, la Deutsche Bank ou la BNP – s’emploient à créer des marchés porteurs dans ce secteur et à spéculer, avec, étrangement, l’appui d’ONG écologistes. Lesquelles achètent de l’eau "pour la restituer à la nature", voyant dans ce nouvel ordre libéral un moyen de protéger l’environnement. En Australie, continent le plus chaud de la planète, cette marchandisation de l’eau a pourtant déjà acculé des fermiers à la faillite, au profit de l’agriculture industrielle, et la Californie imite ce modèle. Face à cette redoutable offensive, amorcée en Grande-Bretagne dès Thatcher, la résistance citoyenne s’organise pour défendre le droit à l’eau pour tous et sanctuariser cette ressource vitale limitée, dont dépendront 10 milliards d’habitants sur Terre à l’horizon 2050.
Main basse sur l'eau
Documentaire de Jérôme Fritel (France, 2018, 1h30mn)
#ARTE #EAU #Finance
Les océans Arctique et Austral suscitent des convoitises grandissantes. La déglaciation déjà bien perceptible en été dans le Nord pourrait ouvrir de gigantesques espaces maritimes et côtiers à la navigation comme à l’exploitation de ressources naturelles. L’évolution des flottes nationales de brise-glaces permet de mesurer l’ambition réelle des pays qui entendent tirer parti du réchauffement climatique à ces latitudes.
Selon l’Institut brésilien de recherches spatiales, 1 202 km carrés de forêt ont disparu entre janvier et avril 2020. Une tendance inquiétante alors que la saison sèche n’a pas commencé.
L’activité humaine serait-elle devenue une force tellurique si puissante qu’elle altère irréversiblement l’environnement ? Cette hypothèse porte un nom : l’anthropocène. Les chercheurs débattent sur le début de cette nouvelle ère. L’enjeu est à la fois scientifique et politique.